Burkina Faso : un regroupement de partis politiques et d’associations fondent le mouvement « Rupture positive/3R »
Le jeune 11 novembre 2021 à Ouagadougou, un nouveau mouvement a été présenté à la presse. Il s’agit du mouvement » Rupture positive/3R ». Un mouvement qui entend opérer un changement décisif dans les orientations et les pratiques.
Constitué d’un regroupement d’associations, de partis politiques, et de personnes physiques, le mouvement « Rupture Positive/3R » entend apporter sa touche au développement du Burkina. .
Selon les propos du président du mouvement, Léonce Koné, le mouvement « Rupture Positive/3R (réconciliation, refondation, renouveau) », veut s’apuyer sur les pratiques actuelles pour opérer une « rupture positive ». « En décidant d’inscrire cette démarche sous l’angle de la rupture, l’idée implique une volonté, de mettre fin de façon radicale à une situation qui prévalait antérieurement. L’évolution actuelle du Burkina Faso est très préoccupante. Il y a d’abord la question majeure et angoissante de l’insécurité liée au terrorisme qui progresse, à ce niveau, Il y a assurément un problème de gouvernance, que la valse des ministres en charge de ce secteur ne suffira pas à résoudre », a affirmé Léonce Koné.
Il ajoute que s’ils aspirent à une « rupture positive », « c’est parce que nous voulons qu’elle débouche sur quelque chose de meilleur par rapport à la situation passée et existante, en tirant leçon de l’expérience qu’a traversée notre pays, en mal et en bien ».
Emmanuel Gouba
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