vendredi le 20 septembre 2024

Lutte contre la cybercriminalité : le Benin et le Burkina unissent leur force

Lutte contre la cybercriminalité

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Les agences nationales de sécurité des systèmes d’informations (ANSSI) du Burkina et du Benin en collaboration avec Cybastion Institute of technology aux Etats -Unis d’Amérique (USA) ont signé à Ouagadougou, le  mercredi 9 décembre 2020 une convention d’un plan d’actions. Cette convention entre dans le cadre de la lutte contre la cybercriminalité dans les deux pays.

Eradiquer la cybercriminalité au Burkina Faso et au Bénin est l’objectif que s’assignent les agences nationales de sécurité des systèmes d’informations intervenant dans les deux pays. En effet, le mercredi 9 décembre 2020, les deux pays en vue de mettre fin à la cybercriminalité ont signé un accord. La convention s’inscrit dans le cadre de la coopération entre les deux pays. Elle vise à diminuer les attaques du cyber espace et augmenter le niveau de sécurité au Burkina et le Benin.

 Cet accord constitue un coup de départ marquant un début de plan d’actions entre les deux pays. C’est du moins ce que laisse entendre le directeur de l’agence nationale de sécurité des systèmes d’information Burkina, Michael G. Folané. C’est pourquoi, plusieurs projets seront mis en œuvre pour l’exécution de ce plan d’actions.

Le premier renvoie à la mise en place d’une plateforme technique d’échanges des menaces. Cette plateforme permettra à l’agence burkinabè de suivre de prêt les menaces observées au Benin et vice-versa. Le deuxième volet vise à mieux sécuriser le cyber espace et créer un écosystème où les personnes sont sensibilisées en matière de cybercriminalité.

De l’avis du directeur général de l’ANSSI Benin, Ouanilo M. Faggla, le plan d’action quinquennal marque un engagement des deux entités des deux pays à collaborer pour avoir un cyber espace sécurisé. Le président directeur général du Cybastion Institute of technology Pr Wandji Thierry renchérit que ce partenariat constitue une aubaine « pour les jeunes. », car affirme -t-il « c’est le métier de l’avenir et cela va occasionner des sensibilisations et des formations et des métiers pourront être donc créés »

Source : Faso.net

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