Développement : l’Assemblée nationale et ses partenaires en conclave pour plus d’efficacité
L’Assemblée nationale et ses partenaires échangent ce mardi 13 juillet dans le cadre de la concrétisation de leurs relations et du développement du Burkina. C’est un rendez-vous qui se veut précurseur d’un partenariat stratégique à travers des échanges substantiels sur les contributions des PTF à la mise en œuvre du Nouveau Référentiel de développement du Burkina Faso.
L’un des objectifs premiers de l’Assemblée nationale, dans le cadre du développement est de renforcer la capacité humaine pour un rayonnement des institutions parlementaire. En effet, ce mardi 13 juillet 2021, avec ses partenaires, elle tient son premier cadre d’échanges. La présente rencontre vise non seulement à échanger sur les appuis multiformes de la coopération des partenaires techniques et financiers mais également à l’examiner des enjeux et défis sectoriels en vue de contribuer au renforcement du contrôle parlementaire de l’action gouvernementale.
A ce titre six (6) secteurs de développement sur quatorze (14) sont retenus pour cette première instance statuaire. Il s’agit du secteur de la sécurité et gestion humanitaire, du secteur de la décentralisation, du secteur de justice et droits humains, du secteur de l’employabilité des jeunes et des femmes, du secteur de la gouvernance publique, et du secteur de la santé. Ces secteurs vont permettre d’échanger sur les politiques publiques, les enjeux et les défis dans le cadre du Référentiel nationale de développement.
Selon le vice-président de l’Assemblée nationale, Nestor Batio Bassière, représentant du président de l’Assemblée Nationale Bala Alassane Sankandé, ce cadre « va permettre à l’assemblée nationale et au-delà des mécanismes de financement des partenaires d’analyser l’efficacité de leur apport dans le développement du Burkina Faso. A l’en croire le taux en termes d’analyse de lois, de règlement et d’absorption est très faible. Raison pour laquelle la rencontre a été initiée dans l’optique de situer les responsabilités.
Mathilde Zoungrana
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