1er mai : Bassolma Bazié salue les travailleurs et leur contribution à la lutte contre le terrorisme
Le ministre chargé de la Fonction publique, Bassolma Bazié
À l’occasion de la Journée Internationale du Travail, célébrée chaque 1er mai, le ministre d’État, ministre de la Fonction publique, du Travail et de la Protection sociale sociale, Bassolma Bazié, a adressé un message aux travailleurs du Burkina Faso. Dans ce discours empreint de reconnaissance et de solidarité, il a souligné le rôle des travailleurs dans la défense de la nation face à la menace terroriste.
Bassolma Bazié a débuté son message en rappelant l’histoire du 1er mai, une journée marquée par les sacrifices des travailleurs à travers le monde pour obtenir des droits fondamentaux tels que la réduction du temps de travail et la liberté syndicale. Il a également rendu hommage aux martyrs de Chicago, dont les luttes ont contribué à l’établissement de normes essentielles pour le bien-être des travailleurs.
Le ministre a ensuite mis en lumière le contexte difficile dans lequel s’inscrit la célébration du 1er mai cette année, tant sur le plan international que régional et national. Il a souligné les défis auxquels sont confrontés les travailleurs, notamment la flambée des prix des produits de consommation, les dérèglements climatiques et la paupérisation croissante des populations.
Dans ce contexte, il a salué les travailleurs burkinabè pour leur résilience et leur engagement dans la lutte contre le terrorisme. Il a rendu hommage aux Forces de Défense et de Sécurité (FDS) et aux Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP), ainsi qu’aux civils, qui ont consenti des sacrifices ultimes pour défendre le drapeau national et maintenir la sécurité du pays.
Par ailleurs, il a exprimé sa reconnaissance envers tous les travailleurs qui ont répondu à l’appel de la nation en soutenant les forces de sécurité dans leur lutte contre le terrorisme. Il a souligné l’importance de la solidarité et de la coopération entre toutes les couches de la société pour faire face à cette menace existentielle.
Carine Pierrette Zongo
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