Burkina Faso : un projet pour renforcer les capacités des jeunes en matière de santé sexuelle.

La photo de famille des autorités présentes à la cérémonie

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Le 28 juillet 2020, à Ouagadougou, Sika Kaboré, présidente de la fondation KIMI, a procédé au lancement du projet de renforcement des capacités des adolescents et jeunes à l’exercice de leurs droits en matière de santé sexuelle et reproductive dans les régions du centre et du centre-Ouest. Placée sous le slogan « pour une sexualité responsable des jeunes, je m’engage » cette cérémonie de lancement a connu la participation de plusieurs jeunes et des différents ministères concernés.

Favoriser un meilleur accompagnement et une bonne implication de tous les acteurs nationaux, dans la mise en œuvre du renforcement des capacités des adolescents et jeunes à l’exercice de leurs droits en matière de santé sexuelle et reproductive dans les régions du centre et centre -Ouest, est l’objectif visée par la fondation KIMI.

Le projet entre dans le cadre du huitième programme de coopération entre le Burkina Faso et l’UNFPA, et vise à sensibiliser les adolescents et jeunes à la santé sexuelle et à leurs droits reproductifs. Le projet sera mis en œuvre pendant trois ans, dans les régions du centre (districts sanitaires de Bogodogo et de sig-noghin) et du centre -Ouest (districts sanitaires de Sabou et Réo), au profit de 273 096 adolescents.

 Selon Sika Kaboré, présidente de la fondation KIMI, le projet va contribuer à renforcer l’accès des jeunes et des adolescents, des régions concernées, à l’information et aux services de santé de santé sexuelle et de la reproduction.  De l’avis de wendyam Kaboré, présidente nationale de l’association burkinabè du bien -être familiale (ABBF), des prestataires seront formés afin qu’ils prennent en compte les problèmes des jeunes et adolescents liés à la santé sexuelle.

Le coût total du projet est estimé à 800 000 000 FCFA. A noter que la fondation KIMI active, depuis 2006, intervient dans les domaines de la santé préventive en faveur de la mère et de l’enfant, de la lutte contre les cancers du col de l’utérus et du sein et de la lutte contre les pathologies liées à l’hygiène et à la qualité de l’eau.

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