Rupture collective : « Être musulman ou chrétien, c’est croire en Dieu » (Moumini Koudougou)

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Afin de promouvoir le vivre ensemble au Burkina, Moumouni Koudougou organise ce vendredi 22 mars, la 2e édition de la rupture collective de jeûne. Filinfos est allé à sa rencontre pour comprendre l’esprit de l’activité.

Selon le promoteur de la rupture collective de jeûne, l’initiative vise à célébrer la coïncidence des temps de pénitence des deux religions mais aussi promouvoir la paix. Moumouni Koudougou reste convaincu que « être musulman ou chrétien, c’est croire en Dieu ».

Image de la 1ere édition de Rupture collective. Photo: Vision Associée

A la veille de l’activité, Moumouni Koudougou confie que l’organisation se
passe bien et se fait de façon bénévole. « Des personnes de bonnes volontés apportent leurs contributions pour le succès de cette édition » a-t-il confié. Des volontaires bénévoles se sont joints à la cause et s’occupent de l’organisation pratique. Cette année en plus de l’invitation adressée à la communauté catholique et musulmane, un pasteur et un chef coutumier ont été conviés. « Notre vision est qu’avant d’être chrétien ou musulman nous sommes des frères et sœurs d’une même famille appelée « BURKINA FASO » et qu’il faille qu’on vive ensemble de façon pacifique et fraternel » a conclu Moumouni Koudougou.

Image de la 1ere édition de Rupture collective. Photo: Vision Associée

L’activité réunira plusieurs personnes sans distinction de religion au palais de la culture Jean Pierre Guingané à partir de 18 heures ce vendredi 22 mars 2024.

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Lino Ramdé

Journaliste
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