Présidentielle 2020: Le message de Zéphirin Diabré

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A l’entame de cette campagne pour les élections couplées présidentielle et législatives, j’ai eu une pensée spéciale pour vous tous, vaillants militantes et militants, amis et sympathisants de l’UPC.

Au Burkina et à l’étranger où résident certains d’entre vous, vous allez entamer un combat acharné pour faire triompher l’UPC au soir du 22 novembre 2020.

Plus qu’en 2012 et 2015, ce rendez-vous électoral de 2020 est d’une importance cruciale pour notre parti et pour votre avenir collectif. Vous connaissez les enjeux.Comme par le passé, je vous invite à l’engagement et au combat. Nos adversaires ne feront rien à moitié, et surtout useront de toutes les ficelles de la politique nauséabonde pour arriver à leurs fins. Seule notre détermination les fera reculer et nous assurera la victoire finale.

Le contexte national calamiteux dans lequel ces élections se déroulent, qui s’explique par l’échec cuisant du candidat sortant, interpelle notre parti en particulier, en raison de sa vocation à être la locomotive du vrai changement.

Le 22 novembre 2020, nous devons être la force motrice de l’insurrection électorale que les Burkinabè attendent et souhaitent vivement pour corriger l’erreur de 2015.

Pour le succès de notre projet de société, « Le nouveau départ : Ensemble, sauvons le Faso », j’aurai besoin de votre engagement à tous, et plus particulièrement de ceux qui seront élus le 22 novembre 2020 à l’Assemblée nationale. C’est le lieu pour moi d’encourager fortement et de souhaiter une très bonne chance à tous nos candidats à ces élections législatives.

Comme vous l’avez suivi ces derniers jours, la machine des intrigues et des coups bas s’est à nouveau mise en marche contre notre parti, aidée en cela par certains des nôtres, qui n’ayant pas pu se faire sélectionner sur la liste des candidats aux élections législatives, ont choisi de devenir des ennemis de notre parti, oubliant au passage tout ce qu’ils ont obtenu grâce à lui et ce qu’ils sont devenus par lui. Ne vous laissez ni attendrir, ni émouvoir, ni décourager par ces quelques départs, moins nombreux que ceux enregistrés par nos adversaires, et qui ne peuvent nullement ébranler notre parti.

Soyez rassurés que sur le plan personnel, et fort de ma longue expérience politique, je n’ai jamais été habité par le découragement. Bien au contraire, ma stimulation pour le combat n’a jamais été aussi forte.

Bonne campagne à toutes et à tous !

Ensemble, sauvons le Faso !

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