CASEM/Ministère de la communication : un bilan satisfaisant en dépit de la situation sécuritaire

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En dépit du contexte sécuritaire difficile du Burkina Faso, le ministre en charge de la communication, Jean Emmanuel Ouédraogo a jugé ce mardi 31 janvier 2023, satisfaisant le bilan des activités de son département au cours de l’année 2022. Le première session ordinaire du Conseil d’administration du secteur ministériel (CASEM) de l’année 2023, va permettre d’examiner et de valider le rapport d’activités de l’année 2022 du ministère, d’une part, et d’autre part, de projeter les perspectives 2023.

Selon le ministre Jean Emmanuel Ouédraogo, ce CASEM va permettre de faire le point de l’ensemble des activités menées au cours de l’année 2022, de tirer les enseignements et se projeter sur les objectifs fixés pour l’année 2023. « C’est une année extrêmement décisive pour l’ensemble du pays, mais également pour le ministère, parce qu’il est très attendu sur les grands défis du moment. Nous avons pour objectif de faire en sorte que le secteur de la communication, le secteur de la culture puissent être en phase avec les enjeux et la dynamique du moment », a-t-il déclaré.

Jean Emmanuel Ouédraogo, ministre de la communication

Quant au bilan des activités, Jean Emmanuel Ouédraogo a fait savoir que l’année 2022 a été une année de résilience car malgré la situation sécuritaire du pays, les acteurs ont fait preuve d’engagement, d’initiative. Un bilan qu’il juge « satisfaisant », car en dépit du contexte sécuritaire, l’année 2022 a vu la réalisation et la tenue effective d’un certain nombre activités majeurs.

Au titre des réalisations au cours de l’année 2022, le département ministériel a engrangé des acquis. Il s’agit entre autres de l’organisation réussie de la 25ème édition des Galian, de l’accompagnement financiers de cent douze (112) médias privés sur cent vingt (120) prévus et l’organisation réussie de la 4ème édition de la Nuit de l’entrepreneur touristique, de la sensibilisation de deux cent quarante-neuf (249) entrepreneurs touristiques dont trente (30) femmes sur la règlementation hôtelière, de la tenue du Symposium international de sculptures sur granite de Laongo avec la réalisation de quinze (15) nouvelles œuvres et la vérification et la transmission à l’UNESCO d’un dossier de complétude pour l’inscription de la Cour royale de Tiébélé sur la Liste du Patrimoine Mondial.

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