dimanche le 24 novembre 2024

État de la gouvernance au Burkina Faso : le rapport 2021 en cours de validation

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Le ministère de la fonction publique, du travail et de la protection sociale a convié ce jeudi 28 juillet 2022, les différents départements ministériels, les institutions, les organisations de la société civile, des collectivités territoriales et des partenaires sociaux à un atelier d’échange pour capitaliser les efforts en matière de bonne gouvernance. Cet atelier va consister à examiner le rapport sur l’état de la gouvernance en 2021, de formuler des recommandations et d’en tirer les conclusions.


L’objectif général de l’atelier est de rendre disponible la version validée du rapport sur l’état de la gouvernance au Burkina Faso en 2021, a indiqué Étienne Kaboré, secrétaire permanent de la modernisation de l’administration et de la bonne gouvernance (SP-MABG). Il va ainsi s’agir pour les acteurs d’évaluer l’état de la gouvernance dans ses aspects démocratique, sécuritaire, administrative, économique et locale.

Étienne Kaboré, secrétaire permanent de la modernisation de l’administration et de la bonne gouvernance


Pour le compte de l’année 2021,  » en matière d’acquis nous avons l’adoption du PNDES II qui constitue avec le plan d’action de la transition, les référentiels en terme de développement dans notre pays, la stratégie nationale de lutte contre la corruption pour renforcer la lutte contre la corruption, des procédures administratives qui ont été dématérialisée pour faciliter l’accessibilité des services publique aux usagers, la subvention de la presse privée à hauteur de 400 millions au compte de l’année 2021. Au plan local nous avons tenu la conférence nationale de la décentralisation sur la question de financement des collectivités territoriales » a relaté M. Kaboré.


Du reste le ministère entend poursuivre les efforts en matière de dématérialisation des procédures mais également en matière de gestion de la discipline au niveau de l’administration publique. Au plan local, des réflexions sont menées afin de garantir le minimum de service aux populations.


En rappel cet atelier s’inscrit dans la dynamique de la bonne gouvernance, initié depuis 1998 par le gouvernement burkinabè.

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